Avion cargo #42025
- Référence : #42025
- Nom du modèle : Avion cargo
- Nombre de pièces : 1297
- Année : 2014
- Dimensions : 65 x 61 x 22
- Designer : Lars Krogh Jensen
- Niveau de difficulté : 4/5
- Note du modèle principal : 5/5
- Note du modèle secondaire : 3/5
Avec plus de 60 cm d'envergure et sa couleur blanche peu répandue en Lego Technic, cet avion cargo #42025 ne passe pas inaperçu. Le nez est la première chose que l'on voit, c'est lui qui insuffle une identité à l'appareil. Et ça tombe bien, il est très réussi ! Le fuselage jouit d'une réalisation minutieuse. Il est légèrement pointu et gagne rapidement en volume avec des formes bombées. Les flexs de la verrière viennent parfaire le tout avec des lignes nettes et précises. Le cockpit est soigné. On distingue 2 postes de pilotage avec chacun un siège, un manche et un écran de navigation. Derrière le cockpit, les grands carénages sont simples et uniformes, presque trop.
Les ailes créent une surépaisseur de 2 tenons sur le corps de l'appareil. Grâce à ce carénage, cette surépaisser s'intègre assez bien. Les détails sont très aboutis : des marquages bleus aux extrémités des ailes, des volets mobiles, de la mécanique visible, un feu rouge à babord et un feu vert à tribord. Les finitions sont correctes, avec tout de même une réserve concernant le bord d'attaque. Monté en biais, il n'a visuellement que très peu d'impact. En fait, on en vient même plutôt à penser que l'aile est mal construite, du fait que les carénages médians ne tombent pas d'aplomb, et que les moteurs ne sont pas perpendiculaires aux bords d'attaque (donc que les 2 ne sont pas maintenus ensemble). En somme, c'est un choix relativement curieux qui, de surcroit, ne concourt pas à la rigidification des ailes. Cela dit, ça n'a rien de dramatique en soit car d'autres poutres répondent à cette nécessité.
Les moteurs sont bien profilés, jusque sous les ailes. Les engrenages 24t reproduisent un peu de mécanique factice et les hélices tripales sont parfaites. Les compartiments des trains d'atterissages (sponsons) sont très bien carénés. De plus, ils augmentent la carrure de l'avion, ce qui est assez plaisant. Sur le flanc tribord le fuselage laisse à désirer, tandis que la mécanique des trains d'atterrissage se charge de faire du remplissage à babord. De chaque côté de la rampe, c'est l'inverse. Le côté tribord est rempli grâce à un mécanisme alors que le côté babord est vide. En fait, on s'aperçoit qu'il a été difficile de concilier habillage et mécanique. Quoi qu'il en soit, la rampe et le plancher de la soute sont pleins. Ainsi, charger du matériel dans la soute est réellement envisageable. Pour rappel, ce n'était pas le cas sur l'hélicoptère #9396.
Derrières les ailes, les abords des commandes (rouges) sont bien dépouillés. Deux poutres n'auraient pas été un mal pour faire un rendu un peu moins négligé. La ligne montante de la queue de l'avion est crédible. Cette forme couplée à la couleur bleue dynamise beaucoup le design de l'appareil. Cela est d'autant plus nécessaire et salutaire que le blanc sur tout le reste de l'avion est très neutre. Les formes des 3 ailerons n'appelle pas de commentaire particulier. En revanche, sur le design général de la queue, on peut formuler strictement la même critique que sur l'hélicoptère #9396 : les seules poutres studless produisent un résultat trop vide. Cela est d'autant plus flagrant que toute la partie avant de l'avion est caréné à la perfection. Esthétiquement, on a donc un fort déséquilibre entre l'avant et l'arrière. Quelques tiles ici et là sur la queue auraient atténué un peu ce constat. Concernant les détails, on a seulement une lumière rouge sur l'empennage vertical ; il n'y a pas besoin de plus.
Notre avion cargo #42025 dispose de 7 fonctions ; 3 manuelles et 4 motorisées. Commençons par analyser celles qui sont manuelles. Entre les poutres bleues de la queue, il y a une sorte de joystick. Il permet de commander la position des différents volets de l'avion comme sur le set #42040. Son fonctionnement peut être décomposé en 2, c'est-à-dire d'une part les mouvements avant/arrière, et d'autre part les mouvements gauche/droite. Lorsque l'on manœuvre le levier d'avant en arrière, cela agit sur la gouverne de profondeur (au niveau de la queue). En réalité, ce dispositif sert à contrôler le tangage de l'avion. Par exemple, en tirant le levier vers l'arrière, la bielle noire est poussée en avant. Puis, un jeu de poutres en "Z" fait bouger les volets. Ce jeu de poutres en "Z" inclut un point de pivot supplémentaire afin que le mécanisme fonctionne dans le bon sens. Ainsi, quand on tire sur le manche, cela lève les gouvernes de profondeur, ce qui doit redresser le nez de l'avion. Le mécanisme fonctionne très bien, et le débattement des volets est optimal (pas démesuré, mais suffisant pour être remarqué). On aurait juste apprécié qu'il y ait un pin à friction sur une des bielles afin que le système puisse un peu mieux tenir une position. En l'état, l'ensemble est un peu trop libre.
En orientant le manche sur la gauche ou la droite, on actionne les ailerons. Ces ailerons servent en réalité à modifier la direction de l'avion. En maniant le levier, l'axe tourne. Au bout, le knob central distribue par l'arrière le mouvement aux knobs latéraux, et donc à chaque aile. Après un long axe, une paire de knob se charge d'actionner les ailerons. Là encore, le mécanisme est bien configuré : en poussant le levier à gauche, l'aileron gauche se lève et l'aileron droit se baisse pour faire virer l'avion à gauche. Le mécanisme est totalement indépendant de celui de la gouverne de profondeur. Des engrenages à 12 dents au centre et des 8t aux bouts des ailes auraient sûrement été plus jolis, mais ils auraient généré davantage de jeu, tout en occasionnant un réglage moins évident lors du montage (à noter : mettre 3 pignons 8t au bout d'une aile n'inverse pas nécessairement le fonctionnement des ailerons pour peu que l'engrenage central distribue le mouvement par l'avant aux engrenages latéraux). Le choix des knobs, engrenages à seulement 4 dents, semble donc être pertinent. Le modèle ne dispose pas de gouverne de direction sur l'empennage vertical. Cela aurait été bien trop complexe à mettre en place à cette échelle et compte tenu des standards de construction Lego.
La 3ème et dernière fonction manuelle concerne les volets hypersustentateurs (couramment appelés volets ou flaps). Leur fonction est d’augmenter la portance de l’aile pour que l'avion puisse se maintenir en l’air à vitesse réduite. Ce dispositif est donc très utile lors des décollages et atterrissages. Le mécanisme est simple, mais la simplicité a parfois du bon. En tirant le levier gris (extrémité rouge), on actionne 2 bielles noires qui tirent directement les volets. Les pins à friction présents dans le dispositif rendent les mouvements vraiment agréables, en plus de pouvoir choisir des positions intermédiaires. Comme on l'a vu, ce système ne brille pas par son ingéniosité. Cependant, il permet d'enrichir le modèle qui, au final, possède 3 dispositifs ayant attrait à l'aérodynamique. Cela est ludique, en plus d'être instructif. Et oui, c'est aussi ça le rôle des Lego !
Avant de détailler la mécanique des fonctions motorisées, commençons par planter le décor. Le boîtier à piles est situé derrière le cockpit. Y accéder nécessite de retirer les grands panneaux blancs et plusieurs connecteurs. Sans être aisée, l'opération reste moins laborieuse que sur le remorqueur #42008... Le moteur M est situé derrière le boîtier à piles, sous les 3 knobs du système des ailerons. Avec un axe et 3 engrenages à 16 dents, les axes des 2 boîtes à vitesses sont alimentés.
La première fonction que l'on étudiera, c'est la rotation des hélices. Pour cela, on pousse le levier de vitesses droit vers l'arrière. Ainsi, le changeover catch pousse le driving ring vers l'avant. Là, par l'intermédiaire d'un driving ring extension (présent également sur les 3 autres fonctions motorisées), une roue folle est embrayée. Elle interagit avec un 16t situé plus haut, puis, un renvoi d'angle fait de 2 engrenages à 12 dents permet d'avoir un long axe transversal. Cet axe va distribuer le mouvement aux 2 moteurs. Sur chaque moteur, un renvoi d'angle constitué d'un 20t simple bevel et d'un 12t simple bevel fait tourner les hélices. Une telle mécanique induit une multiplication de 3:5, ce qui, avec un moteur M, fait tourner les hélices à plus de 650 tours par minute ! Une telle vitesse est diablement crédible ! Et c'est un vrai plaisir de voir que l'avion a vraiment des hélices qui carburent ! La faible masse des hélices fait qu'elles n'ont quasiment aucune inertie. En conséquence, on n'a pas de cliquet qui interdit aux hélices de tourner dans un sens comme sur l'hélicoptère #9396. Par contre, on a quand même un dispositif de débrayage. Sur l'axe transversal qui mène à chaque moteur, l'axe est scindé au niveau d'un pin joiner rouge. C'est très astucieux ! Dans le cadre d'une utilisation normale, les pins à friction sont suffisants pour entraîner l'axe. Et dès qu'un évènement extérieur vient interférer avec le fonctionnement des hélices, les pins à friction patinent et n'entrainent plus les hélices. Ce dispositif présente de nombreux avantages. Premièrement, il protège les pièces Lego puisque rien ne force si une hélice est retenue. Deuxièmement, il permet à une hélice de continuer à tourner si l'autre est bloquée. Et troisièmement, il protège les enfants contre d'éventuelles blessures. Car rappelons-le, les hélices tournent très vite. Le mécanisme n'a, par essence, pas de fin de course. La jouabilité de cette fonction est donc très simple.
En poussant le changeover catch droit vers l'avant, le driving ring est poussé vers l'arrière. La roue folle embrayée peut alors travailler avec un 16t. Et plus vers l'arrière de l'avion, ce sont 3 engrenages à 12 dents qui actionnent le mini vérin mécanique (réduction finale : 1:1). Le 12t simple bevel tan est logiquement placé sur l'axe d'articulation du vérin, car c'est le seul point qui restera immobile au fur et à mesure du déploiement (ou repliement) de la tige du vérin. Il faut compter un petit peu plus de 3 secondes pour ouvrir ou fermer la rampe. La mécanique est donc assez réactive, sans pour autant avoir une vitesse d'exécution délirante. Les fins de courses sont valablement gérés par le mini vérin mécanique. Certes on entend le débrayage interne au mini vérin, mais on sent que la mécanique ne souffre pas. C'est un bon compromis. Ouverte, la rampe ne touche pas tout à fait le sol (1 mm de différence), mais ça n'est pas très grave. Quant à la soute, elle est très spacieuse. On pourra sans difficulté y loger un petit véhicule ou divers objets. C'est un vrai plus pour la jouabilité.
Les trains d'atterrissage constituent le mécanisme le plus spectaculaire du set, tant en terme de mécanique que de cinématique. Pour les faire fonctionner, il faut pousser le levier gauche en avant. Le driving ring est alors poussé vers l'arrière. Grâce à 3 engrenages à 16 dents (dont 2 roues folles), la rotation est déportée sur le flanc gauche de l'avion. Là, 2 renvois d'angle successifs mènent le mouvement au niveau du plancher de l'appareil. Le 20t simple bevel occasionne au passage une réduction. Sous l'avion, ce sont 2 triplets de 16t qui vont être à l'origine des mouvements des 3 mini vérins mécaniques (réduction finale : 5:3). Pour les 2 trains principaux, 2 paires d'engrenages 12t permettront de sortir ou rentrer les tiges des vérins. Pour le train avant, c'est l'axe central qui alimentera directement le mini vérin mécanique. Seul un cardan permettra à l'axe de s'articuler au gré de l'inclinaison du vérin. Les 3 trains d'atterrissage sont parfaitement synchronisés et supportent sans problème le poids de l'avion cargo. Il faut 5 secondes pour rentrer ou sortir les trains d'atterissage. C'est un bon délai, qui concilie à merveille jouabilité et plaisir de contempler leur cinématique. La gestion des fins de course est satisfaisante, quoique différente selon le sens d'utilisation de la fonction. Lorsque l'on a fini de rentrer les trains d'atterrissage, les mini vérins débrayent. Tandis qu'en fin de déploiement, c'est le moteur M qui cale. La seule petite remarque négative que l'on pourrait émettre concerne le sens de fonctionnement des vérins : leur tige rentre quand les trains d'atterissage sortent (et inversement). Instinctivement, on aurait plutôt imaginé un fonctionnement synchrone. Mais là, on chipote vraiment, surtout que prendre en compte cet aspect implique une conception totalement différente.
Les trains d'atterrissage n'ont pas encore livré tous leurs secrets. En effet, les sponsons ont bénéficié d'une grande attention par rapport à leur cinématique. Tout se joue avec 2 biellettes, l'un de 3 tenons, l'autre de 6. La cinématique sera étudiée dans le sens de repliement. Avec les trains sortis, les sponsons sont ouverts. Au fur et à mesure que le train rentre, la biellette de 3 tenons (à 90° du train) remonte. Quand elle est alignée avec la biellette de 6 tenons, l'ouverture du sponson est maximale pour bien laisser la place aux roues. Puis, la biellette de 3 tenons va continuer de tourner avec le train, au point de tirer le capot en direction du centre de l'appareil. Finalement, cela ferme le sponson. Visuellement, le résultat est grisant !
La 4ème et dernière fonction motorisée est l'ouverture de l'avion par l'avant. Et autant le dire tout de suite, c'est la fonction la plus décevante du set. Pour cette fonction, il faut pousser le levier de vitesse gauche vers l'arrière. Le driving est ainsi poussé vers l'avant. La mécanique qui s'en suit n'est pas compliquée : après la roue folle de la boîte à vitesse et un 16t, un axe articulé par 2 cardans suffit à transmettre le mouvement jusqu'au mini vérin mécanique (réduction finale : 1:1). Ces 2 cardans et cet axe de biais semblent être la seule solution face à la place prise par le boîtier à piles et l'axe transversal du mécanisme des hélices. Toujours est-il que mécaniquement, cela reste peu glorieux et assez bâtard (ce qui n'est pas sans rappeler le remorqueur #42008...). L'ouverture complète (presque à 90°) nécessite un peu plus de 3 secondes. Pour mettre en mouvement un morceau si volumineux de l'avion, ce n'est pas beaucoup. Il n'aurait vraiment pas fallu que le fonctionnement soit plus rapide. Et il n'était pas possible de réduire le bras de levier d'un tenon pour réduire la vitesse sous peine de considérablement réduire l'angle d'ouverture. Outre la conception mécanique peu convaincante évoquée ci-avant, cette fonction laisse perplexe sur 2 aspects. Tout d'abord, concernant les fins de course. En position ouverte, le faible bras de levier couplé au débrayage du vérin fait littéralement danser le nez de l'avion au point que ça en devienne cocasse. En position fermée, la fin de course est très bien gérée ; le débrayage répond aux attentes. Ceci étant dit, il faut impérativement éviter de saisir l'avion par le nez. Oui, le poids du set est suffisant pour faire sauter tous les crans du mini vérin et ouvrir le nez avec de gros craquements en prime... Le second point qui laisse sceptique, c'est l'espace de stockage derrière le cockpit. Avec le boitier à piles, le volume libre est tout bonnement ridicule : 3 tenons en profondeur, 9 en largeur, et 7 en hauteur. Autrement dit, il n'y a pas la place de mettre quoi que ce soit d'intéressant. Cela remet quand même en grande partie l'utilité de la fonction : elle ouvre l'accès à une zone de stockage dans laquelle on ne peut quasiment rien stocker ! Pour cette fonction, il faut donc revoir ses exigences à la baisse et se contenter d'un mécanisme qui ouvre et ferme bêtement le nez de l'appareil.
Comme l'analyse des fonctions le montre, la mécanique de notre avion est intéressante, mais pas très complexe. Elle n'est tout du moins pas aussi complexe que des sets comme la grue mobile #42009 ou la supercar #8070. Toutefois, le set a un autre atout à faire valoir : sa jouabilité. Car c'est par sa jouabilité extraordinaire que cet avion #42025 tire toute sa force, qu'il est transcendé. Déjà, il est bien difficile de ne pas céder à la tentation de saisir le modèle pour le faire voler à toute allure. A cela s'ajoute des commandes manuelles très simples, et des commandes motorisées accessibles et instinctives. Quelle que soit la vitesse embrayée, et grâce à une mécanique pas trop alambiquée, on a toujours une idée approximative de l'endroit où le mouvement va être redirigé, et donc de quelle fonction va être actionnée. On ne se pose donc guère de question à ce niveau. On enchaine rapidement et simplement les manoeuvres, puisque toutes les fonctions sont indépendantes et compatibles (ce qui n'est par exemple pas forcément le cas sur un bras avec 2 articulations, ou sur une flèche télescopique avec un câble). En fait, la seule chose qui peut entrainer de mauvaises manipulations, c'est l'interrupteur du boîtier à piles. On a une chance sur 2 de l'actionner dans le bon sens. Mais là encore, ce n'est pas un souci. En effet, malgré la présence de 4 fonctions motorisées, aucun fin de course ne se révèle foncièrement problématique. Ainsi, dans le cas où l'on a activé la fonction dans le mauvais sens (un mini vérin débraye ou le moteur cale), il suffit de basculer l'interrupteur. Cela se fait très confortablement grâce à la poutre noire qui rend la commande du boîtier à piles moins rigide. Pour résumer, rarement un set avec 7 fonctions dont 4 motorisées aura eu une jouabilité aussi accessible et limpide.
Cette boîte propose un contenu digne d'intérêt. Le très gros atout de cet avion cargo #42025, ce sont les pièces blanches. Pas très courantes en Technic, cette fois-ci, on en a une bonne dose ! On recense pas moins de 48 (!) carénages blancs et 130 poutres de longueurs et formes variées. Dans les pièces plus techniques, on s'attardera sur 2 changeover catchs, 2 driving rings, 4 driving ring extensions, 2 cadres, 3 cardans, 5 mini vérins mécaniques (premier set à en intégrer une telle quantité), 6 pales, 2 bras de suspension, 2 carénages bleus et 3 flexs. Les pièces dentées sont peu nombreuses pour un set de 1300 pièces. Il n'y en a que 44, dont 3 engrenages 20t simple bevel, 7 knobs, 5 roues folles et 2 engrenages 24t. Après tout ça, et face à l'attrait que suscitent les pièces blanches, le boîtier à piles et le moteur M paraissent presque anecdotiques.
L'inventaire des pièces est disponible ici.
Cet avion est imposant, mais comme on l'a vu, son design n'est pas parfait, notamment vers la queue. Sa complexité est aussi mesurée. Pour le reste, notre #42025 n'a que des qualités : des mécanismes bien pensés, réalistes, éducatifs et variés (manuels et motorisés), un inventaire très bien fourni, et par dessus tout, une jouabilité très accessible et bien équilibrée. En un mot comme en 100, et pour les petits comme pour les grands, cet avion est juste génial !