Dépanneuse tout-terrain #42070
- Référence : #42070
- Nom du modèle : Dépanneuse tout-terrain
- Nombre de pièces : 1862
- Année : 2017
- Dimensions : 63 x 21 x 27
- Designer : Uwe Wabra
- Niveau de difficulté : 5/5
- Note du modèle principal : 5/5
- Note du modèle secondaire : 3/5
Ce #42070 est un gros morceau... Le capot aux formes très angulaires a un fort impact sur l'identité générale du camion. Certaines finitions sont réussies, comme l'élargissement significatif au dessus des passages de roues, ou bien le grand pare-buffle. On a aussi des détails sympas comme les chaînes qui donnent un côté baroudeur et le petit ours en peluche que l'on peut interpréter comme la signature ou le porte-bonheur du chauffeur... A l'inverse, d'autres finitions sont un peu plus surprenantes. Par exemple, si des très grands phares cubiques conviennent bien au style massif de l'engin, l'intégration des pièces transparentes reproduisant les optiques laisse à désirer. Idem, 2 loupiotes pour un phare et une pour clignotant, ça fait un peu léger pour un camion de cette taille... Le gros espace entre la calandre et le carénage bleu situé en contre bas n'est pas non plus du plus bel effet. Néanmoins, de loin, on est bien obligé d'admettre que le set a une bonne gueule ! Sous le capot, le moteur avec 4 cylindres en ligne paraît sous-dimensionné pour un engin de ce gabarit. Heureusement, il y a des pièces noires pour lui donner davantage de consistance. Les petites finitions mécaniques de part et d'autre sont également les bienvenues.
La cabine est dans la veine de la partie avant du camion ; il y a du bon et du moins bon. Dans le bon, on trouve des formes taillées à la serpe qui donnent une allure puissante au camion. On a aussi des détails corrects : des contours noirs séduisants pour le pare-brise, des rétroviseurs, des barres de toit, et des grands gyrophares. Les carénages sur la partie arrière et sur le toit sont convenables ; on ne tiendra pas rigueur de l'espace évidé, nécessaire pour accéder au boîtier à piles. Au niveau des portières, c'est déjà nettement moins bon... Elles sont trop petites, si bien que les jointures ne sont bonnes ni devant, ni derrière, ni dessous ! Les réservoirs d'essence sont incontournables bien sûr, mais ils s'avèrent un peu petits eux aussi. De plus, le jour entre la cabine et le réservoir n'est pas des plus joli. L'aménagement intérieur fait à peu près le job : 2 sièges bleus, une planche de bord, un volant. Mais il faudra vraiment se serrer pour espérer passer les jambes !
Derrière la cabine, la cheminée peine à habiller le récepteur infrarouge. Des détails plus ambitieux, notamment côté gauche, auraient été les bienvenus. Avec un design précis et un rouge qui tranche bien, les stabilisateurs sont très jolis. La grue, elle, est déjà plus brouillonne. Du vide, un clutch blanc, une poutre bleue transversale, la butée jaune au centre, on a connu mieux...
Sur les côtés, les parois bleues correspondent plutôt bien à l'identité observée à l'avant du camion. De même, difficile de formuler quelconque réserve sur les stabilisateurs arrière, les feux, ou bien les chaînes : tout ces éléments sont dans la stricte continuité du reste. Là où ça coince franchement, c'est sur l'habillage au dessus des essieux arrière. Il n'est bien évidemment pas question de remplir au point de faire une benne pouvant accueillir de petites pièces Lego. Car là n'est pas le but du véhicule. Mais on peut quand même légitimement s'attendre à une construction plus soignée que ce que Lego nous propose. En l'espèce, c'est un doux euphémisme de dire que le camion est dépouillé...
Les passages de roues conviennent bien en noir. Contre toute attente, leur réalisation mixant métapièces et poutres techniques ne pose aucun souci esthétique. Les pneus sont magnifiques et jouent un rôle essentiel dans l'allure de ce #42070. Concernant les jantes, c'est une toute autre histoire. L'aspect lisse et propret des dishs 6x6 ne s'accorde pas du tout avec le reste. Des jantes nues auraient beaucoup plus en accord avec le look brutal de cette dépanneuse tout-terrain. Quant à la couleur jaune, elle ajoute une troisième couleur vive après le bleu clair (très joli soit dit en passant) et le rouge, ce qui est plus que discutable. Au final, et comme on a pu le voir, on a un camion sur lequel il est possible de dresser une liste de bémol assez longue. Et paradoxalement, le set demeure assez plaisant à contempler. Cela s'explique vraisemblablement par sa taille impressionnante, son allure robuste, et son schéma de couleurs captivant (roues mises à part).
En terme de fonctionnement, notre #42070 joue dans la cour des grands. Il possède 2 moteurs électriques et 4 boîtes à vitesses afin de télécommander 6 fonctions ! Oui, cela va nécessiter quelques explications... Concrètement, les 2 boites à vitesses avant nous laissent le choix entre embrayer les fonctions de déplacement (propulsion et direction), ou bien renvoyer la motorisation vers 2 boites à vitesses arrière. Et ces 2 boîtes à vitesses, avec 2 rapports chacune, donc 4 canaux disponibles, permettent de contrôler les fonctions de manutention (stabilisateurs, levage du bras, rotation du bras, et déroulement du câble). Le moteur XL situé sous le moteur factice entraine directement l'axe de la boîte à vitesses avant gauche. Le moteur M, situé sur le côté droit du camion, fait tourner l'axe de la boîte à vitesses avant droite par un engrenage 16t et un engrenage 20t.
En orientant le sélecteur blanc gauche vers le bas, on fait bouger 3 biellettes. Celles-ci poussent vers l'arrière les changeover catchs des 2 boîtes à vitesses avant. Alors, les driving rings glissent vers l'avant pour contrôler propulsion et direction. Pour la propulsion (moteur XL), on a d'abord 4 engrenages à 16 dents (dont 2 roues folles) en renvois droits. Vers le haut, on met le vilebrequin du moteur factice en action. Vers le bas, on a la transmission. Un différentiel 4L sépare le mouvement entre l'avant et l'arrière. Puis pour chaque essieu on retrouve une configuration identique : un engrenage 20t pour que l'axe longitudinal s'engrène avec un différentiel 3L, et une réduction avec un 8t et un 24t au niveau de chacun des 6 ponts portiques (réduction finale : 21:5). L'essieu avant possède en plus des cardans nécessaires au braquage des roues. La vitesse de déplacement est tout à fait satisfaisante. Et il est assez plaisant de faire rouler un monstre pareil. Bien évidemment, si le véhicule est dans une pente et que l'on débraye le sélecteur gauche (et donc le moteur électrique), l'engin dévale la pente. Ce n'est pas du tout un souci en soi. Mais il faut juste y faire attention, de la même manière que l'on ne garerait pas sa voiture dans une descente sans mettre le frein à main...
Avec le sélecteur gauche vers le bas et la boîte à vitesses droite (moteur M), on contrôle la direction. Après la roue folle avant de la boîte à vitesses, on trouve une cascade d'engrenages pour aboutir à une réduction appropriée : engrenage 16t, pignon 8t, clutch 24t, engrenage 12t, puis un 20t. Finalement, un 12t fait coulisser une crémaillère 13L (réduction finale : 25:4). Le clutch ne patine jamais de façon intempestive - pour peu de ne pas faire du trial truck - et débraye idéalement sur les fins course. Lorsque cette fonction est débrayée (utilisation des fonctions de manutention) et donc que la résistance du moteur électrique ne s'applique plus, le mécanisme est libre. Cependant, cela n'a pas la moindre conséquence sur l'utilisation du set. Le rayon de braquage, lui, est de 93 cm. Certes, en valeur absolue, c'est un chiffre démesuré. Mais si on le rapporte à la taille du camion, il n'y a rien de scandaleux. Technologiquement, depuis l'avènement du servomoteur en 2012, une direction motorisée par moteur M apparaît comme périmée en 2017... Ceci étant dit, au delà du fait qu'un servomoteur ne serait pas compatible avec la motorisation des autres fonctions (levage du bras, déroulement du câble), on est bien obligé d'admettre que notre #42070 s'en sort avec les honneurs. La bonne démultiplication permet un contrôle aisé, et la nature même du camion ne requiert pas une direction aussi précise que celle d'un véhicule de franchissement (comme le set #9398). En bref, cette solution fumeuse sur le papier s'avère tout à fait suffisante dans la pratique.
Vis-à-vis des suspensions, on a simplement 2 essieux pendulaires à l'arrière, dont le croisement de pont est de l'ordre de 20° ; c'est moyen. A l'avant, l'essieu est rigide. C'est lui qui assure la rectitude du camion, face aux 2 essieux arrière libres de tout mouvement. Fait amusant à noter d'ailleurs : depuis la création des Lego Technic il y a 40 ans, ce camion #42070 est le premier set à intégrer un essieu avec direction et transmission, mais sans supsension ! Sans le moindre ressort et avec un essieu avant non suspendu, il va sans dire que les suspensions du camion sont pour le moins sommaires... Cela se ressent au niveau des capacités de franchissement quasiment inexistantes. Il peut évoluer sur un terrain bombé, vallonné, ou faiblement pentu. Par contre, si un obstacle fait un centimètre de haut, le véhicule cale. Les suspensions ne sont pas les seules en cause. Il y a bien sûr le poids de l'engin ; rappelons que le set possède une grue, des stabilisateurs, et toute la mécanique que cela implique. Aussi, la répartition des masses n'est pas idéale. Les 2 moteurs électriques et le lourd boîtier à piles situés vers l'avant plantent littéralement l'essieu avant dans chaque obstacle qui viendrait à se présenter. De surcroît, les différentiels de la transmission tendent à paralyser le véhicule quand une roue est en l'air. Cela peut sembler décevant. Mais il est totalement illusoire d'espérer des performances semblables à celles d'un tout-terrain #41999, par exemple. En fait, ce #42070 n'est tout bonnement pas un engin de franchissement.
En levant le sélecteur gauche, les driving rings des 2 boîtes à vitesses avant glissent vers l'arrière. On réoriente donc les 2 motorisations vers les boîtes à vitesses arrière (fonctions de manutention). Pour la boîte à vitesses avant gauche (moteur XL), après la roue folle, un engrenage 16t suffit à atteindre l'axe de la boîte à vitesses arrière gauche. Pour la boîte à vitesses avant droite (moteur M), la roue folle travaille avec un 20t en contrebas, et plus en arrière, un 12t et un 20t permettent de remonter à hauteur de l'axe de la boîte à vitesses arrière droite.
A ce moment là, la motorisation se fait sur les 2 boîtes à vitesses arrière. Pour embrayer les fonctions de manutention, on utilise le sélecteur blanc droit. Quand on l'oriente vers le bas, 3 biellettes poussent les driving rings des 2 boîtes à vitesses arrière vers l'avant. Cela va embrayer le mécanisme des stabilisateurs (moteur XL, boîte arrière gauche) et celui du levage du bras (moteur M, boîte arrière droite).
Depuis l'axe de la boîte arrière gauche (moteur XL), la rotation est remontée à hauteur des stabilisateurs avant grâce à un engrenage 20t, 3 engrenages 16t, et 4 roues folles (dont celle de la boîte à vitesses). Les mini vérins mécaniques sont déployés par des engrenages à 12 dents. Pour amener la mécanique vers les stabilisateurs arrière, la rotation est reprise au niveau du premier engrenage 16t du système (celui juste après le 20t). Là, un axe file droit vers l'arrière, et 2 renvois d'angle faits d'engrenages à 12t actionnent le mini vérin mécanique (réduction finale : 1:1). La cinématique est très ingénieuse, puisqu'elle combine les déploiements latéral et vertical de chaque stabilisateur. En fait, quand un mini vérin mécanique se déploie, une grande poutre pousse d'une part le corps du stabilisateur vers l'extérieur, et d'autre part la partie télescopique vers le bas. Mieux encore, la configuration géométrique fait que le déploiement latéral se fait au début, et n'évolue quasiment plus par la suite. Visuellement, c'est absolument irréprochable. Sur les fins de course, le débrayage interne à chaque mini vérin remplit bien son rôle. Et cela s'avère nécessaire puisque les stabilisateurs avant et arrière n'ont pas exactement la même géométrie : la course des stabilisateurs arrière est légèrement plus courte. Ainsi, quel que soit le sens de fonctionnement, le mini vérin arrière sera forcément amené à débrayer un peu pour laisser les mini vérins avant continuer leur course. Les stabilisateurs ne soulèvent pas le camion, mais remplissent tout de même bien leur fonction. Ils apportent un bon appui au sol, chose nécessaire quand on sait que les 2 essieux arrière sont pendulaires donc instables.
Avec le driving ring de la boîte arrière droite (moteur M) vers l'avant, on télécommande le levage du bras. A partir de la roue folle de la boîte à vitesses, le mouvement descend avec une nouvelle roue folle, puis est recentré avec un 16t. Ensuite, un axe part vers l'arrière pour déboucher sur un engrenage 16t simple bevel. Ce dernier interagit avec un 20t simple bevel, pour faire remonter un axe à travers la turntable. Au sommet, 3 engrenages simple bevel (dont un 20t libre sur l'axe de pivot) actionnent un vérin mécanique (réduction finale : 625:144). Le bras étant très léger, le moteur M n'a pas la moindre difficulté au levage. Même avec 600 grammes accrochés en bout de flèche, il lève ! En outre, le haut de la flèche peut atteindre 52 cm et l'amplitude est de 60° ; c'est bien plus qu'il n'en faut ! En bout de course, c'est le dispositif interne au vérin mécanique qui craque puisqu'il n'y a pas de clutch. Tant pis. Pour augmenter la portée du bras, une section télescopique aurait été appréciable. Mais face à l'absence de canal motorisé libre, elle aurait forcément été manuelle, et donc en décalage avec l'expérience proposée par ce #42070. Tout compte fait, le bras est satisfaisant tel qu'il est.
Lorsque l'on relève le sélecteur blanc droit, on pousse vers l'arrière les 2 driving rings des boîtes à vitesses arrière. Par conséquent, on embraye 2 nouvelles fonctions : la rotation de la grue (moteur XL, boîte arrière gauche), et le déroulement du câble (moteur M, boîte arrière droite).
Quand le driving ring est vers l'arrière sur la boîte arrière gauche (moteur XL), on contrôle le mécanisme de rotation de la tourelle. La roue folle de la boîte à vitesses entraine un 16t situé plus bas. A la suite de cela, on a pas mal de pignonnerie dans le châssis : un 20t sur un 12t (non visible sur les photos), un 12t sur un clutch, un 16t sur un 20t, une vis sans fin sur un 24t et finalement un 20t sur les 60 dents de la couronne de la turntable (réduction finale : 108:1). Le champ d'action de la grue est de 160°, ce qui est largement suffisant. La butée se fait avec la poutre transversale bleue de la tourelle qui vient heurter les demi-bushs jaunes sur le châssis. Et en fin de course, le clutch fait son job. La vitesse de l'ensemble présente un parfait dosage, pour être précis sans non plus devoir s'éterniser.
La dernière fonction motorisée est le déroulement du câble. Il se contrôle avec la boîte à vitesses arrière droite (moteur M), et le driving ring poussé vers l'arrière. La roue folle de la boîte à vitesses s'engrène avec un 16t situé plus bas. Vers l'arrière, un renvoi d'angle fait de 2 engrenages à 12 dents permet de remonter la rotation. A la suite de ça, un pignon 8t entraîne le côté à 24 dents d'un différentiel 4L positionné verticalement. Ce différentiel permet de passer une seconde fonction au centre de la turntable, sans perturber le mécanisme de levage du bras. Sur la tourelle, le côté à 16 dents du différentiel agit sur un 16t. Plus haut, un renvoi d'angle fait avec 2 engrenages à 12 dents permet de déboucher sur un 12t qui va au final actionner un clutch positionné sur l'axe de l'enrouleur (réduction finale : 125:16). Côté droit, un pignon 8t monté sur pin à friction apporte un peu de fermeté dans le mécanisme. Le fonctionnement général se fait sans heurt, et le capacités de levage du câble sont assez importantes. Toutefois, on aurait apprécié qu'il soit plus rapide. En fin de course ou en cas de charge trop lourde, le clutch débraye correctement pour sécuriser le modèle. Par ailleurs, on soulignera que ce #42070 est le premier set Lego Technic à utiliser un différentiel verticalement pour passer 2 fonctions au centre d'une turntable. Il est toujours plaisant de trouver de nouvelles configurations mécaniques dans les sets officiels...
Concernant la jouabilité, tout fonctionne très bien. Le récepteur infrarouge posté en hauteur capte très bien le signal et la mécanique ne force pas. Aussi, mis à part celle du levage du bras (craquements du vérin), toutes les fins de course sont gérées convenablement. La maniabilité est excellente également. Il est vraiment aisé de télécommander chaque fonction. Tout se fait de façon assez instinctive et on ne fait jamais vraiment d'erreur de manipulation puisque les fonctions sont gérées par groupes de 2. Les rares opérations manuelles consistant à orienter les sélecteurs blancs ne viennent pas entâcher la qualité de jeu proposée. De même, avec des irréversibilités par vérins ou vis sans fin (stabilisateurs, levage du bras, rotation de la grue), et des pins à friction (câble), les fonctions débrayées ne peuvent avoir aucun mouvement parasite. Et le fait de ne pas pouvoir lever le bras et le tourner en même temps car les fonctions ne sont pas sur le même sélecteur n'est guère problématique. En définitive, on s'aperçoit que la configuration mécanique (seulement 2 moteurs) adoptée par notre #42070 peut paraitre surprenante voire pauvre au début mais qu'elle donne en fait toute satisfaction. Elle évite d'avoir un nombre de moteurs délirant et requiert une mécanique bien pensée. En effet, les configurations de type #8275 ou #42030 avec un moteur par fonction ne sont pas les plus excitantes... Finalement, il n'y a bien que le franchissement qui est en retrait, toutes les autres fonctions affichant vraiment des performances convaincantes.
Avec des dimensions considérables, toute la mécanique embarquée, et des fonctions télécommandées, l'inventaire offre logiquement pas mal de possibilités... En power functions, on a un boîtier à piles, un moteur XL, un moteur M, un récepteur infrarouge et une télécommande. Dans les autres belles pièces on a 6 magnifiques pneus, 6 jantes jaunes, un vérin mécanique, 3 mini vérins mécaniques, 4 driving rings, 4 changeover catch, 4 métapièces rouges, 6 ponts portiques, 2 cardans, 12 cadres Technic, et 44 éléments de carrosserie (26 bleu clair, 14 noirs, 2 transparents et 2 bleus). Enfin, on a un sacré lot de pièces dentées, avec pas moins de 110 (!) éléments. Parmi eux, on retiendra 13 roues folles, 5 différentiels, 5 crémaillères, une turntable, 4 mini turntables, une vis sans fin, 3 clutch, 7 engrenages 24t et un 20t libre. C'est clairement une belle palette de pièces !
L'inventaire des pièces est disponible ici.
Avec un design imparfait mais accrocheur, une mécanique bien chargée, des fonctions intéressantes, une bonne jouabilité et un inventaire richement doté, cette dépanneuse est assurément un beau set. Il n'y a bien que les capacités de franchissement un peu trop limitées qui pourront laisser quelques regrets...