Hélicoptère de secours #9396
- Référence : #9396
- Nom du modèle : Hélicoptère de secours
- Nombre de pièces : 1056
- Année : 2012
- Dimensions : 72 x 55 x 25
- Designer : Markus Kossmann
- Niveau de difficulté : 5/5
- Note du modèle principal : 5/5
- Note du modèle secondaire : 3/5
Le schéma de couleurs jaune et rouge, ainsi que la forme générale ne trompent pas : cet hélicoptère est un hélicoptère de secours. Grâce aux différents carénages et à ces pièces, l'avant du modèle a des lignes très arrondies, tout en douceur. Cela change de ce que l'on a l'habitude de voir sur la plupart des modèles des années passées et qui ont des lignes très dynamiques et agressives. Le capot noir n'est pas une faute de goût en terme de design. En réalité, il évite au pilote d'être ébloui. La verrière est décrite grâce à 3 montants. Le fait qu'ils ne soient pas dans le même plan donne encore une impression d'arrondi. Par contre, les couleurs différentes pour les 3 montants ne sont pas joyeuses... Trois axes noirs auraient été plus jolis, c'est certain. Avec 2 sièges bleus, 2 manches et un beau panneau de contrôle, le cockpit est parfait. Le carénage de l'hélico (partie jaune) utilise énormément les faces des poutres studless pour faire des surfaces bien lisses. Ce procédé n'est pas sans rappeler le tristement célèbre camion pompier #8289. Pour autant, la comparaison s'arrête là. Notre hélicoptère s'en sort considérablement mieux. Il est fait avec plus de délicatesse, sans rendre le résultat final étouffant. On a par exemple 2 petites vitres sur la porte coulissante.
Sur la zone centrale de l'hélicoptère, on a de larges appendices ; ils accueillent les roues arrières une fois repliées. Ces appendices sont massifs, et s'accordent donc bien avec le reste de l'hélicoptère. Des barres en diagonale apportent juste ce qu'il faut pour la finition. Au même endroit, on constate à nouveau que le designer à usé mais pas abusé des surfaces lisses des poutres. Vers l'arrière, les grands éléments de carrosserie rouges sont un moyen très simple de faire le fuselage. Le résultat n'est pas aussi flatteur qu'à l'avant avec les poutres jaunes. Mais la surface triangulaire ici ne se prête pas à un habillage en poutres. Le résultat est donc correct. La soute utilise un panneau 5x11. Le résultat obtenu est net et irréprochable. Soute fermée, l'hélicoptère est bien caréné, et soute ouverte, la rampe d'accès est très crédible.
Pour habiller le toit de l'hélicoptère, on a 6 carénages disposés tout autour du rotor. Au dessus du cockpit, ils décrivent une forme bien aérodynamique. Plus vers l'arrière, on trouve les moteurs. Les entrées d'air et les tuyères sont faites avec des jantes. De prime abord, la disposition des moteurs peut sembler quelque peu incongrue. En effet, ils dénotent pas mal avec les lignes générales de l'hélicoptère. Avec le temps, on s'y fait, et on apprécie leur largeur qui contribue à donner de la densité à l'engin. Le rotor lui-même peut paraître volumineux. Pourtant, cela est assez réaliste. Que dire des pales... Très fines, et avec l'extrémité en caoutchouc noir (pour ne pas se blesser par inadvertance), elles sont simplement sublimes. Elles sont un élément fort pour le réalisme du modèle. Juste derrière le rotor, c'est vraiment trop vide. S'il est toujours agréable de voir la mécanique, cela ne signifie pas que le modèle doit être dépouillé. Deux poutres studless 5L auraient suffit pour faire un remplissage léger. Les poutres noires, elles, font une bonne forme fuyante.
La queue de l'hélicoptère impose une construction classique avec les trous des poutres sur le côté. De fait, cela n'est pas en accord avec le corps de l'hélicoptère. Un habillage avec quelques tiles 1x6 rouges çà et là aurait été sacrément le bienvenu. De plus, en rajoutant une épaisseur à certains endroits, ces tiles auraient atténué l'effet escalier très marqué par les poutres studless. Car la largeur de la queue passe brutalement de 11 à 9, 7 et 5 tenons. L'extrémité de la queue est assez grosse. Il aurait été apprécialbe de retrouver quelques formes arrondie comme à l'avant du modèle. Les pales du rotor de queue sont réussies, mais, il faut le dire, moins impressionnantes que celles du rotor principal. Côté opposé au rotor, on trouve un aileron. Pas forcément inesthétique, ce dernier est malgré tout surprenant et curieux. A l'instar du camion de dépannage #8109, le schéma bicolore jaune et rouge fonctionne à merveille (beaucoup de sets utilisent 2 couleurs mais ne sont pas foncièrement bicolores pour autant ; par exemple, un véhicule rouge ou noir avec un outil jaune). Lego devrait s'y essayer plus souvent. Même sans les stickers, la transition entre les 2 couleurs est de bonne facture.
Notre hélicoptère #9396 possède 5 fonctions, ce qui est bien voire très bien. Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, attardons-nous sur les portes latérales. Elles coulissent sur 2 axes de 12, l'un fixé sur la structure, l'autre sur la porte. Avec la porte ouverte, le passage dégagé est confortable (7 tenons de large et de haut). A l'intérieur, on aperçoit bien d'autres mécanismes, mais globalement, on peut dire que la place est bien dégagée. Le véritable problème de ces portes coulissantes est qu'elles n'ont pas de système de verrouillage. Ainsi, elles ont tendance à s'ouvrir toutes seules au gré des virevoltes que l'on fait subir à l'hélicoptère. Un réel dispositif de verrouillage n'aurait pas été viable. De même, il est impensable d'espérer que les portes se replient dans l'épaisseur du carénage ; bien trop complexe à cette échelle. Par contre, on peut penser qu'introduire une source de frottement aurait été un bon moyen de pallier ce problème. Ainsi, avec une pièce en caoutchouc comme celle-ci qui vient frotter contre la porte, chaque porte aurait pu être plus stable.
Pour gérer 4 des 5 fonctions, le modèle dispose de 2 boîtes à vitesses. La molette principale se situe côté gauche. Un renvoi d'angle composé d'un 20t et d'un 12t simple bevel assure une multiplication et positionnent l'axe dans le sens de la longueur. Au bout, ce sont 2 engrenages à 16 dents qui remontent la rotation à hauteur des boîtes à vitesses. Les axes de ces dernières sont entraînés par 5 engrenages dont 2 roues folles.
En poussant le levier droit vers l'arrière, on bascule le driving ring vers l'avant. Le mécanisme qui s'en suit est alors très simple : la roue folle, embrayée par l'intermédiaire d'un driving extension, s'engrène avec un 16t directement relié au treuil. Compte tenu de la multiplication, on déploie le treuil très rapidement ; en 1 tour de molette, on déroule 5 cm de câble. Le mécanisme est néanmoins particulièrement résistant. Pour ne pas que le câble soit trop libre une fois débrayé, cette broche à friction a été insérée dans le mécanisme. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'effet escompté est atteint, et pas qu'un peu ! En débrayant le mécanisme et en tirant sur le câble, celui-ci ne se déroule pas. Il est fortement conseillé de remplacer la broche incriminée par un dispositif moins contraignant comme celui du camion #8273. Par ailleurs, et à l'inverse du #8856, le bras du treuil n'est pas rétractable.
En basculant le levier de la boîte à vitesse droite vers l'avant, on gère le mécanisme d'ouverture de la soute. Cette fois-ci, le driving ring est poussé en arrière. Il s'engrène immédiatement avec une roue folle qui transmet le mouvement à un 16t situé en contrebas. Deux engrenages à 12 dents prennent le relais et actionnent un vérin mécanique. L'utilisation du mini vérin mécanique dans une telle configuration est une somptueuse idée. Premièrement, il descend facilement le mouvement. Deuxièmement, il procure une bonne réduction. Troisièmement, il assure l'irréversilibité. Et quatrièmement, il est très compact. En bref, c'est du 4 en 1. Lorsque la tige du vérin est sortie, la soute est fermée. En rentrant la tige, 4 bielles vont entrer en jeu et petit à petit déployer la rampe. Les bouts de course ont été très bien exécutés. En position haute, la rampe est bien calée. En position basse, la rampe atteint le sol au millimètre près lorsque le vérin est totalement replié. Dix tours de molette sont nécessaires pour déplier la rampe. A l'intérieur de l'hélicoptère, l'espace libre est impressionnant. On comprend une fois de plus à quel point l'utilisation du mini vérin mécanique est judicieuse. En 1 tenon de large, il réunit toutes les qualités nécessaires au mécanisme. C'est du beau boulot.
Le mécanisme des trains d'atterrissage est, sans le moindre doute possible, le plus beau mécanisme du set. Pour les gérer, il faut pousser le levier de la boîte à vitesses gauche vers l'avant. La façon dont la mécanique se goupille au début est alors très similaire au mécanisme de la soute : la roue folle travaille avec un 16t, puis 2 engrenages à 12 dents alimentent le mini vérin mécanique. Le vérin apporte les mêmes avantages qu'auparavant : transmission simple, réduction, irréversibilité et compacité. En revanche, il fonctionne en sens inverse ; on déploie les trains d'atterrissage en sortant la tige du vérin. Après le vérin, on n'a plus le moindre engrenage mais un jeu de bielles absolument titanesque. C'est un des plus beaux jeux de bielles jamais vu dans un set Lego Technic, si ce n'est le plus beau. En sortant, la tige du mini vérin va tirer plusieurs bielles gris clair vers l'avant. La dernière de ces bielles gris clair fait tourner un axe transversal qui va distribuer la rotation aux 2 trains arrière. Une biellette gris foncé va alors se baisser, entraîner une biellette jaune qui, elle, va faire sortir les stabilisateurs arrière. Le train avant est actionné depuis les bielles gris clair. Une grande bielle noire vient s'y greffer pour récupérer le mouvement. Elle va agir sur 2 bielles gris foncé qui vont finalement aboutir sur une configuration de biellettes identiques à celle des trains arrière. Les derniers composants (biellettes) des trains étant les mêmes, les 3 trains d'atterrissage se comportent de manière rigoureusement identique. Ils disposent tous d'un point de rebroussement solide qui ne saute pas (les pins bleus font le verrouillage). L'hélicoptère est donc très stable. Il faut 12 tours pour déployer entièrement les trains d'atterrissage.
En poussant le levier gauche vers l'arrière, on manipule le dernier mécanisme dépendant des boîtes à vitesses, à savoir la rotation des rotors. Le driving ring coulisse vers l'avant dans une roue folle, et 2 engrenages 16t sont entraînés. L'axe du second 16t est à l'origine de la rotation des 2 rotors. Vers l'avant, un 12t va former un renvoi d'angle avec les 28 dents de la turntable pour faire tourner tout le rotor. Vers l'arrière, le 20t noir s'engrène avec un 12t situé juste en dessous. Un long axe rejoint la queue de l'hélicoptère. Là, pour obtenir un axe oblique, 3 engrenages simple bevel dont un 20t libre sont successivement employés. En dernier lieu, on trouve un renvoi d'angle avec une paire de 12t ; le rotor peut tourner. Il est à noter que le beau et grand 36t n'interfère pas dans le système. Il sert juste de base pour fixer les pales. Ceci étant dit, ce mécanisme du rotor présente une particularité importante : il ne fonctionne que dans un sens. Lorsque l'on tourne la molette dans le sens horaire, tout s'engrène bien. Au contraire, quand on tourne la molette dans le sens anti-horaire, un des 16t se déboite inexorablement pour concrètement ne pas entraîner les 2 rotors. Ce petit dispositif de débrayage - semblable à ce que l'on peut observer sur le power puller #8457 - est bien sûr un choix délibéré de conception. La première explication plausible est le fait que sur un véritable hélicoptère, les rotors ne tournent que dans un seul sens. Le débrayage aurait donc pour but de reproduire cela. Mais en fait, il est bien plus probable que ce dispositif soit une sécurité. Le rotor est effectivement assez lourd, et possède donc une inertie certaine quand il est en mouvement. Le dispositif de débrayage empêche ainsi de changer brusquement de sens de rotation alors que l'énergie accumulée par le rotor le pousse à poursuivre sa rotation dans le même sens. Cela pourrait endommager les pièces, surtout dans le cas où le set est motorisé. On notera que le dispositif ne peut pas se réembrayer si l'hélicoptère est mis à l'envers, la gravité jouant contre lui. Mais jusqu'à preuve du contraire, un hélicoptère n'est pas censé fonctionner la tête en bas !
L'ultime fonction du set est aussi intéressante que rare dans les sets Lego Technic. Il s'agit du réglage du pas collectif, vu précédemment dans le set #852, 35 ans avant le #9396. Autant dire que ça ne date pas d'hier ! En réalité, un tel réglage consiste à donner une incidence (inclinaison) précise et identique à toutes les pales au même instant, afin de modifier la portance de l'hélicoptère. En faisant varier la portance, l'hélicoptère peut alors monter ou descendre. La commande ne se situe pas au niveau des manches du cockpit mais de part et d'autre de la cabine. Et c'est aussi bien, ne serait-ce que du point de vue de la maniabilité. En relevant le levier, on baisse 2 connecteurs qui vont tirer sur une longue poutre noire. Cette dernière tire à son tour des biellettes qui font descendre l'axe au centre du corps de l'hélicoptère. Cet axe traverse la turntable citée précédement et débouche dans le rotor. Là, le mouvement de va-et-vient de l'axe fait coulisser verticalement une structure dans le rotor. Avec des rotules et des arbres, les pales sont alors tirées ou poussées, ce qui fait varier leur incidence. Sur notre modèle Lego, cette incidence peut atteindre environ +30° (portance positive, l'hélicoptère doit théoriquement s'élever). Si l'amplitude n'est pas tant aberrante (30°), sur un vrai hélicoptère elle serait plutôt de -5° à +15° afin que l'hélicoptère puisse respectivement descendre et monter dans les airs. Le mécanisme a donc dû être légèrement adapté pour être transposé en Lego de façon viable, tant du point de vue de la construction - avoir un montage qui reste dans le système Lego - que de l'impact visuel. En effet, en Lego, et quitte à faire des concessions en terme de réalisme, il est beaucoup plus aguicheur d'avoir un mouvement net et bien identifiable que 2 mouvements timides. Aussi impressionnant soit-il, le camion de dépannage #8109 s'était heurté à cet écueil. Et oui, faire des Lego ce n'est pas faire du modélisme ! En définitive, il faut retenir que ce mécanisme du pas collectif est très bien exécuté, avec des compromis bien pensés. Au grand regret des fans d'aéronautique, il n'y a pas de pas cyclique sur le modèle (inclinaison des pales à des angles différents, ce qui permet à l'hélicoptère d'avancer, de reculer ou de se déplacer latéralement). Pour intégrer le pas cyclique en plus du pas collectif, il est nécessaire de réaliser un hélicoptère bien plus gros que ne l'est notre #9396. Pour les mêmes raisons, le rotor anticouple (queue) ne présente aucun réglage.
La maniabilité du set est très correcte, et on n'a pas trop besoin de mouliner. La molette jouit d'une excellente préhension, les leviers sont bien accessibles, et leur disposition est assez instinctive. Mais la répartition des 4 fonctions entre les 2 boîtes à vitesses n'était pas évidente. Dans le cadre d'une utilisation purement logique du set, il y a au moins 2 fonctions - le treuil et les trains - qui doivent fonctionner conjointement avec le rotor. Evidemment, les boîtes à vitesses ne permettent pas cela. Le designer a finalement choisi de mettre les rotors et les trains d'atterrissage sur la première boîte à vitesses, et le treuil avec la soute sur la seconde. Il semble que ce choix soit le plus satisfaisant, à défaut d'être parfait. Premièrement, lors d'une opération de sauvetage en plein vol (rotor fonctionnel), l'utilisation du treuil est fondamentale. Deuxièmement, en terme de construction, il semble plus naturel de positionner les trains et la soute en parallèle car ces 2 fonctions ont une conception très proche (mini vérins mécaniques symétriques). Toujours est-il que l'utilisation combinée de 2 fonctions est à relativiser. Par exemple, on peut enrouler le treuil et faire fonctionner les rotors en même temps. Mais la même opération en sens inverse n'est pas possible : quand on tourne la molette dans l'autre sens pour dérouler le câble, le rotor débraye (pour rappel, il ne fonctionne que dans un sens). Et il existe d'autres limites. Ainsi, la soute et les trains ont des fins de course alors que le rotor peut tourner indéfiniment. Les spécificités de chaque fonction se prêtent donc très mal aux actions conjointes. On en déduit finalement que la disposition des fonctions est davantage définie par la construction et son optimisation que la maniabilité elle-même. Afin de gagner en confort et pour obtenir des mouvements plus rapides et fluides, il est possible de motoriser le modèle grâce au kit #8293.
Pour motoriser les 4 fonctions dépendantes des boîtes à vitesses, on attache le moteur M derrière toute la mécanique. C'est l'occasion de faire un petit peu de remplissage, ce qui n'est pas un mal. Le boîtier à piles prend aisément place dans le bas du châssis, à l'envers, devant la rampe. Selon si l'hélicoptère est posé sur une surface ou tenu en main, l'accès à l'interrupteur est plus ou moins facile. L'intégration du switch du kit #8293 aurait réglé la question... Avec un 8t et un clutch, soit une réduction de 3:1, la vitesse des 4 fonctions est raisonnable. On apprécierait que le rotor tourne plus vite, mais cela n'est pas possible ; les 4 fonctions sont pilotées par un seul et même moteur. Du côté de la jouabilité, là encore, il faut définitivement privilégier les manœuvres dissociées entre les différentes fonctions. Car toutes les contraintes expliquées ci-dessus demeurent. A celles-ci s'ajoute le fait que, lorsque le treuil est embrayé, le clutch a énormément de mal à être entraîné à cause des frottements de la broche Technic. Il ne faut donc pas songer à faire fonctionner le treuil avec le rotor ou quelque autre fonction. De manière générale, on peut dire que la motorisation est très bien intégrée à l'hélicoptère et lui apporte un vrai plus.
Les stars de ce set, ce sont bien sûr les 4 grandes pales. Elles ouvrent énormément de possibilités en terme de MOC. Les 4 petites pales sont de belles pièces également. Les autres pièces dignes d'intérêt sont somme toute assez nombreuses : 2 mini vérins mécaniques, 20 carénages rouges, jaunes, noirs et gris, 2 driving rings, un driving ring extension, 2 changeover catchs, et une quinzaine de connecteurs pratiques et peu courants. Trois mécanismes étant constitués en partie ou en totalité de jeux de bielles, la quantité de pièces dentées dans cet hélicoptère #9396 n'est pas aussi abondante qu'on pourrait le penser (32). On retiendra la petite turntable Technic, le 36t, le 20t libre et les 7 roues folles.
L'inventaire des pièces est disponible ici.
Avec un thème plaisant, un design réussi, des mécanismes originaux et bien pensés, une jouabilité très honorable (avec et sans moteur) et un inventaire sympathique, cet hélicoptère est une très belle pièce qui a énormément d'atouts à faire valoir.
Les dimensions indiquées ont été mesurées avec les pales droites.