La review arrive! La vidéo viendra plus tard mais je vais vous présenter une trentaine de photos et les fonctions du MOC.
Sous tous les angles :Commençons par une série de photos qui va permettre d'observer le MOC sous toutes les coutures. Vous pourrez alors me donner vos avis sur l'esthétique, que j'ai tenté de soigner. Je ne sais pas si le fait d'avoir ajouté du studfull sur un MOC qui à une base studless plaira à tout le monde. Moi j'aime bien
Les différentes parties :Comme je le disais lorsque j'ai ouvert ce sujet, j'ai conçu le MOC pour qu'il soit démontable en plusieurs parties. Ça permet de garder une cohérence dans la construction, de revenir sur certains mécanismes alors qu'ils sont perdus au milieu du MOC, d'avoir accès à la BB, aux récepteurs IR...
On enlève la cabine...
On enlève le siège...
On ouvre le capot arrière (accès aux récepteurs IR)...
Le mât est aussi démontable mais ça implique de détendre et d'enlever le câble qui permet son déploiement... et ce n'est pas une partie de rigolade pour tout remettre après.
Les fonctions :La direction :Elle est activé par un moteur M dont la vitesse est réduite (8t vers 24t puis 12t vers 20t) avant qu'un 12t vienne faire bouger la crémaillère.
La traction :Elle est activé par un moteur M qui entraîne un différentiel par un 20t, puis des 8t entraînent alors des 40t solidaires des roues. (On voit aussi la valve du système pneumatique sur cette photo.)
Le levage de la fourche :Un moteur M entraîne une visse sans fin qui entraîne un 24t solidaire du dérouleur de câble. Si la manière dont se déploie le mât intéresse du monde, je ferai un edit et prendrai le temps de l'expliquer.
L'orientation du mât :J'ai repris l'idée de l'autovalve avec différentiel que j'ai trouvée sur le forum. Un moteur M entraîne un 16t qui en entraîne un second. Ce dernier entraîne un côté du différentiel central dont la partie fixe va entraîner un 16t solidaire de la valve et dont la partie opposée va entraîner directement la pompe (située à l'avant du chariot).
Autocritique du MOC :Les + :
- tous les objectifs établis au début sont atteints ;
- les fonctions sont réalisées de manière simples (pas 50 engrenages entre le moteur et le/les mouvement(s)) ;
- je suis assez content de l'esthétique globale ;
- la mât est plutôt fin et stable alors qu'il se déplie en 3 parties et sans accro (cette version définitive du mât est la cinquième que je construis).
Les - :
- la direction n'est pas très précise (je n'ai le servomoteur du 4x4 crawler que depuis quelques jours... il aurait été utile!) ;
- le mât n'est pas bloqué : on retourne le MOC, il se déplie et le câble s'emmêle.
- le mât est trop avancé par rapport aux roues avant si l'on compare avec de véritables chariots élévateurs. J'ai du me résoudre à cela car la pompe prenait de la place à l'avant mais aussi car la compacité du chariot m'y contraignait.
J'attends vos avis! Vidéo à suivre...
-, idem pour la valve, on a du mal à comprendre au premier coup d'oeil )
(on ne voit presque aucun tuyau quand le MOC est monté). On la distingue en fait sur la photo de la traction juste en dessous du tuyau bleu. Le switch est solidaire d'un 16t entraîné par le différentiel que l'on voit sur la photo du dessous du MOC.
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