Le type qui passe des heures, des jours et des soirées entières, tellement concentré et tout et tout qu’il décide même de ne plus se connecter à Setechnic pendant un mois et qui se plante sur la date… !!!
Je ne sais pas pourquoi, j’avais noté dans ma p’tite tête : dead line le jeudi 18…
Et là, bim, je m’aperçois que c’était dimanche 14…
Ma p’tite famille qui me soutenait dans cette entreprise risque fort d’être déçue...
Je pense que je vais me faire charrier jusqu'à la fin de mes jours et que je suis subitement moins sûr d’avoir des Lego à Noël ;-)
lol
Bref, je vous livre tout de même (pour le sport) la review que j’avais préparée ce soir in extremis…
En attendant, je vais me coucher, je voterai plus tard ;-)
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Un vrai challenge pour moi en l’occurrence puisque je n’ai jamais monté ni mocé de véhicule de type supercar. Or le cahier des charges de ce concours, malgré la contrainte du châssis tubulaire, aboutit bien aux dimensions d’une supercar !
49 cm de long et 31 cm de large : il fallait bien ça pour caser la boîte 5 vitesses et les 4 roues motrices !
Après avoir passé commande des roues, des barres de suspensions (type F1), des amortisseurs jaunes (je n’avais que les noirs de 9,5L mais trop souples vu le poids…) ainsi que quelques connecteurs d’angles noirs d’avance, je me suis donc lancé dans la construction.
Les caractéristiques :
> celles du règlement :
- suspensions intégrales (inclinées à l’avant pour faire plus « buggy » justement ;-)
- direction avec HOG (placé au niveau de l’essieu avant devant la baie du pare-brise), avec renvoi au volant
- moteur factice V8 (relié à la boîte de vitesses of course)
- transmission intégrale (finalement assez simple malgré l’absence de cardan spécial direction type 8466 ou supercars) avec différentiel central
- boîte de vitesses (5 rapports me paraissaient le minimum pour un engin amené à crapahuter dans des terrains difficiles, et dans le sable en particulier), avec commande déportée, la boîte étant placée en position centrale arrière, entre le moteur et le levier de vitesses entre les sièges (merci à
everyonesgrudge et à ErikLeppen pour l’inspiration)
> additionnelle :
- montage d’un « frein à main » qui vient bloquer en fait le différentiel central avant (ce qui a pour effet de bloquer les 4 roues)
je souhaitais pouvoir installer des freins avec patins caoutchouc (et commande déportée via système flex), un peu à la manière du magnifique Land Rover de Sheepo mais j’ai dû abandonner l’idée après quelques essais infructueux…
Le design :
pour le design général, j’ai regardé plus particulièrement les réalisations similaires Nico71, Slyous, mais c’est encore davantage le MOC tout tubulaire (sans une seule poutre !) de Morten Frandsen qui m’a interpellé et guidé dans la conception générale
côté modèles « réels », j’ai d’abord regardé des chassis tubulaires nus :
des modèles de compétitions (un peu similaires aux buggys télécommandés de la marque Nikko) :
mais aussi des « monstres » comme celui-ci :
ou celui-là : 
pour vraiment coller à l’esprit « Mad Max » du concours !
Les choix personnels :
1. la légèreté
Au vu de la conception générale des buggys du désert, il m’est apparu fondamental de jouer au maximum la carte de la légèreté, par rapport au concept de châssis tubulaire (pas trop de poids pour ne pas faire plier les axes cruciformes…)
Je souhaitais donc des essieux « légers » et déportés au maximum et c’est pourquoi j’ai utilisé des barres de suspension de type F1 plutôt que les Steering Arm 6 x 2 plus courant sur les tout-terrains et supercars Lego…
Une sorte de F1 des sables, dépouillée de toute carrosserie ou appendices aérodynamiques et avec un moteur copieux bien mis en évidence…
2. « sophistication mécanique » avec transmission intégrale et boîte 5 vitesses à commande déportée
le tout dans une relative compacité pour ne pas avoir quelque chose de trop volumineux qui aurait entravé à la fois le design général (la BV sous les sièges, c’est bien sur un TT moins sur un buggy plus profilé…) mais également la garde au sol
ce qui a imposé notamment le fait de devoir décentrer l’axe de transmission central (avec deux renvois d’engrenages 16T/16T-8T/8T) autour des axes coulissants de la commande de vitesses que je trouve assez rigolos à manipuler
Au final
J’y ai passé pas mal de temps, mais je suis assez fier d’avoir su relever le défi, tout en assurant une jouabilité tout à fait correcte (même si les dimensions générales induisent un rayon de braquage conséquent ;-)
Mon MOC totalise 1 120 pièces, réparties comme suit :
- 240 sur l’essieu avant
- 440 pour la cellule centrale (BV incluse)
- 340 pour l’essieu arrière
J’aurais préféré pouvoir faire des prises de vue en extérieur (dans le sable !), mais la météo automnale n’est pas très favorable.
Quelques clichés supplémentaires et les démos en vidéos pour conclure.
aspect général :
la direction :
les suspensions :
la boîte de vitesses :
en route !
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elles sont arrivées 
, ca tiens pas mal en faite. 
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.
) et que cela était tellement ancré que je n'étais absolument pas conscient d'être en retard !
